La Cour constitutionnelle italienne analysera ce mardi 24 si la citoyenneté par filiation sans limite de génération est compatible avec la Constitution.
Le sénateur Mario Borghese demande au gouvernement italien d'abroger les frais pour les enfants mineurs dans les demandes de citoyenneté iure sanguinis.
Le consul admet que le gouvernement a approuvé le décret dans la précipitation pour contenir la demande et a violé la sécurité juridique pour des raisons de commodité administrative.
La Cour constitutionnelle se prononcera le 24 juin sur des actions unifiées concernant la citoyenneté italienne par le sang, avec des affaires provenant de quatre tribunaux.